max écrit:
Citation:
En fait on voit nettement qu'il y a 20 ou 30 ans et avant bien sûr, les jeunes commençaient à bosser plus tôt dans l'ensemble. Mais surtout, que je remarque que les petits boulots ne manquaient pas, même s'ils étaient ingrats. Maintenant le moindre taf faut avoir le bac!
Par contre je vois que certains sont passés d'un domaine à un autre très rapidement, chose qui se voit moins maintenant j'ai l'impression.
tu dois avoir à moitié raison.
pour les début à bosser, ça dépend des parents. y'avait déjà des parents qui filaient de l'oseille à leur gamins comme ça à la demande. mais pour tous ceux qui étaient dans la moyenne française, c'était plutôt le long terme qui fallait viser: tu me tonds la pelouse, tu laves l'auto, fait le ménage dans le garage, tu aides maman à faire çi ou ça et t'aura 10/20/30/50 balles (en fonction des moyens)
maint'nant les merdeux sont tellement laissés à eux mêmes que de ramasser une paire de chaussettes ça doit être un truc trop dégradant (éh ho j'ai le BAC moi!). et vu que la monnaie tombe toute seule, pourquoi s'en priveraient ils?
l'école leur gonfle tellement le melon que quand ils arrivent à décrocher un boulot, passer le balai ou vider la poubelle de leur poste de travail leur est insupportable. ceux là qu'ils aillent se faire foutre!
et il y a les courageux. oui il y en a . ils sont souvent surexploités malheureusement. pas toujours, mais souvent.
pour ce qui est de changer de branche, il faut savoir ce qu'on veut.
si t'es en recherche d'emploi faut pas trop faire le difficile, sinon tu peux chercher longtemps le boulot qui te convient, pas trop loin de chez toi et bien payé.
à 37 piges je viens de changer. en 2007 j'étais dans l'hotellerie, en septembre de cette année j'étais conseiller technique à distance pour les distributeurs d'un FAI, alors qu'en août je n'y connaissais absolument rien (3 semaines de formation suffisent)
et maintenant je fais de l'entretien auto . avec, c'est vrai, un objectif de retourner dans la partie "vente/commerciale" du centre. c'est justement le côté polyvalent qui a séduit mon nouveau patron.
qui vivra verra