Prise au 1er degré, la remarque de l'ami de Fox, n'est pas stupide ...
Euh ... et au second, elle est même drôle, je le concède :P , mais ce n'est pas le propos ...
Non, j'avais trouvé une solution électronique, pour limiter les p'tits coups de pompe ... non, les p'tits coups de mise en route de la pompe, dont vous pouvez être témoin sur la vidéo. Ces p'tits coups sont nécessaires et générés par l'interrupteur à pression afin qu'il y ait toujours le même seuil de dépression ...
Bon, je devrais pouvoir améliorer la conservation de cette dépression, (dont limiter ces micro mises en route) en mettant des coliers sur toutes les durites, ce qui n'est pas le cas pour le moment.
Déjà, avec un condensateur électrochimique d'assez grosse capacité (disons que j'ai testé avec un 120 millifarads) en série avec une résistance bobinée de quelques centaines d'ohm, le tout monté en parallèle avec l'interrupteur à dépression, j'ai obtenu de meilleurs résultats, avec un lancement plus long de la pompe et des périodes d'arrêt plus importantes.
Logique, le condensateur se charge lorsque l'inter se ferme, ce qui garde la pompe en route quelques instants de plus et il se décharge lorsque l'inter se ferme.
Mais, c'est mon gourou qui m'a soufflé une autre idée. Ce saint homme a toujours des idées. Et des plutôt bonnes, même, comme qui dirait :
Pourquoi ne pas monter cette pompe sur le même circuit que la depression issue de la pipe d'admission ?
Ainsi, c'est le moteur qui assurerait la conservation de la dépression, et la pompe ne se declencherait, uniquement si le vide venait à manquer ... (lorsque les RPM sont trop bas, dans les bouchon de l'A86, par exemple ... ;) )
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, ce sont les mots qui me manquent désormais ! :woohoo:
Il faut juste que je vérifie qu'il n'y a pas de risque que la pompe se mette à aspirer le mélange air-essence et je teste ça.
A suivre, donc ...
K.
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