C'est aujourd'hui que la
nouvelle normede gestion de
cookies sur Internet devrait rentrer en vigueur.
Les sites web europeens devraient désormais vous demander à chaque connexion (voire à chaque page affichée), votre autorisation d'accéder à ce
petit fichier informatique situé sur votre ordinateur qui contient différentes choses, comme par exemple sur le site du MOC: un numéro de session, une codification interne, ou la présentation graphique du site que vous avez choisi.
En France, cette directive n'a pas encore été aujourd'hui, transposée.
Hélas, lorsqu'elle le sera, quatre possibilités nous seront alors offertes:
1 - Ne rien faire, et être en marge avec la Loi,
2 - Demander au visiteur son autorisation d'accès au cookie sur chaque page du site,
3 - Le fermer définitivement,
4 - Héberger le site du MOC à l'extérieur de l'Europe.
Alors...
1 - Outlaw. Etre en marge avec la loi, ne m'inspire rien de bon. Surtout avec les procéduriers qui sévicent ici et là.
Quelque chose me dit que Pop ne verra pas d'un bon oeil de partager une cellule avec moi, et ce même si nous pourrons parler Mopar 24h/24 !
2 - Clicomania. Hors de question de pourir la vie des internautes avec des clics débiles continuels sur toutes les pages. De toute façon, je vais être clair, je n'ai pas envie de me taper la modif complète du site pour le mettre en conformité: je préfère encore adopter le point 3.
3 - Bye bye. Le fermer définitivement sera la solution ultime. C'est peut-être même le but recherché par cette directive aux vagues relents totalitaires. Bien entendu cette dernière apréciation n'engage que moi.
4 - Fuir. Le faire vivre depuis une plateforme à l'étranger, permettra de continuer à l'utiliser comme aujourd'hui, puisque cette directive ne s'applique pas aux sites hors CEE. Les sites comme Google, Facebook, et autres ne sont donc pas concernés et pourrons continuer à être fortement intrusifs, puisqu'on ne pénalise que les sites européens.
Tout cela démontre une fois encore le haut niveau de compétence de certains technocrates situées pourtant aux plus hauts niveaux de décisions de nos institutions, et qui poussent le système économique à aller voir à l'extérieur de ses frontières pour continuer son activité, aussi modeste soit-elle.
Je suis las, parfois... si las... :side:
Bien entendu, tous les sites français seront concernés... je suis même étonné du peu de cas que chacun d'entre eux ont fait de cette directive qui a pourtant été publiée en 2009.