méthode de com' classique en france, le denigrement, mais il y a aussi la culpabilisation et là, il y a les deux!!! mais bon on va s'étaler sur cette daube on est pas concerné, ce genre de réclame ne s'adresse qu'à des gens qui n'acheterons jamais une americaine...
Never mind the bollocks !!

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Hep taxi !!

Qu'il s'agisse de GM, de Ford ou de Chrysler qui soit dans l'infra rouge, ç'est sûr que ce n'est pas une très bonne nouvelle ... :(

Mais bon, pour GM, le gouvernement américain (qui est aussi dans le gros rouge) ne peut pas laisser couler un tel employeur ... :unsure:

K.

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pas si sur !

l'economie U.S a toujours été en "dent de scie", la prospérité succède à la crise, ils remonteront la pente c'est certain, tant que c'est pas à nos dépend!!
yes , they can !

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Hep taxi !!

Bon, comme GM a beaucoup (trop ?) de plomb dans l'aile pour absorber Chrysler, et comme Cerberus est très pressé de se débarasser de Chrysler LLC, voilà qu'on se met à parler de Hyundai désormais ...

Hyundai, futur proprio de Chrysler ? De Jeep, du moins, c'est bien possible ...

K.

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Kryss écrit:


C'est ce que j'ai entendu ce week-end, au JT, carrément.. Ils seraient à moins d'un mois de la cessation de paiement...

Ca commence à sentir rudement la merde pour GM, et ça va être bon pour personne...

:( :( :(
Source : AFP

General Motors, ses caisses vides, renonce à Chrysler et appelle l'Etat à l'aide
Il y a 4 heures

NEW YORK (AFP) — Le constructeur automobile américain General Motors (GM) a reconnu vendredi être menacé d'une crise imminente de liquidités, qui l'a conduit à abandonner son projet de rachat de Chrysler et à lancer un appel à l'aide "indispensable" du gouvernement fédéral.

A moins d'une reprise vigoureuse (et à ce jour improbable) du marché automobile, et sans aide gouvernementale, le numéro un américain ne devrait plus avoir l'argent nécessaire à son fonctionnement dès les premiers mois de 2009.

GM a par conséquence préféré ne pas mener plus loin les discussions engagées avec le fonds Cerberus pour lui racheter sa filiale Chrysler. La priorité est désormais le renflouement de sa trésorerie, a-t-il fait valoir, à l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels.

La fusion avec Chrysler suscitait un grand scepticisme chez les analystes et une hostilité ouverte chez les syndicats, inquiets de ses conséquences sociales. L'opération aurait été condamnée par le refus du Trésor de débloquer une aide de 10 milliards de dollars, selon la presse américaine.

Lors des trois mois achevés fin septembre, GM a enregistré une perte nette de 2,5 milliards de dollars. Rapportée au nombre d'actions, elle atteint 7,35 dollars, alors que les analystes tablaient sur des dégâts limités à 3,7 dollars.

Le chiffre d'affaires a accusé un recul de 13%, à 37,9 milliards de dollars, alors que les analystes attendaient 39,41 milliards.

Après avoir chuté de 15% à l'annonce des résultats, le titre GM ne perdait plus que 5,21% à 4,55 dollars vers 19h30 GMT.

Confronté à un marché nord-américain en chute libre (-32% en octobre), le plus gros constructeur de Détroit a tendu la sébile.

"GM a pris une série de mesures déterminées pour +s'aider lui-même+, mais une aide supplémentaire du gouvernement américain pour aider le secteur automobile durant cette crise est indispensable", fait-il valoir.

Lors d'une téléconférence, le PDG Rick Wagoner a affirmé que le groupe allait "prendre toutes les mesures possibles" pour éviter la faillite.

"Nous sommes convaincus que les conséquences d'une faillite seraient terribles et dépasseraient largement General Motors", a-t-il dit.

Plus d'un quart de million de personnes travaillent pour le constructeur, qui vient de fêter son siècle d'existence et dont les marques sont les plus vendues aux Etats-Unis. GM s'est fait ravir le premier rang mondial par le japonais Toyota cette année.

"La tourmente sans précédent de l'économie et du marché du crédit a un impact dramatique sur le secteur automobile et GM", affirme le constructeur. Nombre de consommateurs "qui ont encore l'intention d'acheter des véhicules se sont vu refuser un crédit, ou ont jugé le coût du crédit prohibitif".

Les trois grands de Détroit (GM, Ford, Chrysler) sont dans l'attente du déboursement d'un crédit de 25 milliards de dollars voté par le Congrès, et sont allés jeudi à Washington pour quémander des aides supplémentaires.

GM a annoncé vendredi un programme de 5 milliards de dollars d'économies, tout en prévenant qu'il serait insuffisant à lui seul pour rétablir sa trésorerie.

Il entend récupérer notamment de 2 à 4 milliards de dollars en cédant sa filiale de vente de pièces détachées ACDelco, la marque Hummer, qui fabrique de gros 4x4 chers à l'achat et très gourmands en carburant, et un site industriel situé à Strasbourg (est de la France).

Il entend en outre rogner 500 millions de dollars supplémentaires de ses coûts salariaux aux Etats-Unis et au Canada, en réduisant les effectifs, y compris si nécessaire par licenciements secs, et en supprimant les primes.

Cinq cents autres millions devraient être récupérés sur les stocks, tandis que les prévisions d'investissements pour 2009 ont été ramenées de 7,2 milliards de dollars à 4,8 milliards.



ça s'arrange pas pour GM.
J'ai les boules!! J'espere que je serai cané quand les pays asiatiques auront tout contrôle sur le marché automobile mondial.
un vrai film d'horreur!
:side: :side: :side:

les problèmes sont tellements nombreux chez gm , trésorerie à rétablir ainsi que les ventes ce qui est déja titanesque , sont pas sortis de la m .... et ce seras au détriment de beaucoup de travailleurs étant donné leurs droits plutôt limités !:side:

dire qu'on craignait le péril jaune ici il y a 25 ans . :side:

Alan Mullaly, le PDG de Ford, estime que le placement d'un constructeur sous la protection de la loi sur les faillites mènerait plus sûrement à sa liquidation qu'à sa restructuration.
Selon le patron du groupe, la faillite d'un des trois grands constructeurs entraînerait toute l'industrie automobile américaine dans sa chute.

Après General motors, c'est au tour de Ford de brandir l'épouvantail d'un effondrement en cascade de toute l'industrie automobile américaine en cas de faillite d'un des Big Three (GM, Ford et Chrysler). Objectif : faire pression sur les autorités américaines pour obtenir une aide supplémentaire pour le secteur.

Alan Mullaly, le PDG du numéro deux américain, a ainsi estimé hier que le placement d'un constructeur sous la protection de la loi sur les faillites mènerait plus sûrement à sa liquidation qu'à sa restructuration. Pire, l'industrie automobile est, selon lui, «si interdépendante» que la chute d'un constructeur entraînerait les autres avec lui. En conséquence, «en tant qu'industrie, nous allons ensemble soutenir la mise en place d'un mécanisme de prêts relais», même si, pour l'instant, Ford «n'en a pas besoin», a ajouté le patron du groupe de Dearborn.

Les PDG des Big Three jouaient hier leur avenir devant la commission bancaire du Sénat, en tentant d'obtenir une rallonge de 25 milliards de dollars, après l'octroi d'un précédent prêt de 25 milliards, voté en septembre par le Congrès mais qui n'a pas encore été débloqué. Il y a dix jours, GM avait indiqué qu'il se retrouverait en situation de faillite sans l'aide «indispensable» de l'État fédéral. Hier, c'est le président de Chrysler, Robert Nardelli, qui a averti que «sans un soutien financier immédiat», son groupe ne pourrait pas «continuer à assurer ses activités».

Plus de trois millions d'emplois directement liés à l'automobile sont menacés. Par ricochet, toute l'industrie américaine serait déstabilisée. Les spécialistes estiment que Ford, même s'il dispose d'une plus grande marge de manœuvre que GM et Chrysler, se retrouvera lui aussi à court de trésorerie courant 2009, au rythme où il brûle ses liquidités.


«Qui sait quand cela s'arrêtera ?»

Si les démocrates se sont exprimés en faveur d'un nouveau plan de soutien, certains républicains y sont farouchement opposés. «General Motors a fonctionné sur un mauvais modèle, a eu une mauvaise direction et aucun schéma d'innovation , s'est indigné Richard Shelby, le sénateur de l'Alabama. Maintenant on parle d'injecter 25 milliards, et encore 25 milliards : qui sait quand cela s'arrêtera ?»

Malgré le risque de catastrophe économique en cas de chute des Big Three, la Maison-Blanche a répété hier qu'elle était opposée à l'octroi d'une aide supplémentaire. La porte-parole de la Maison-Blanche a qualifié de «non nécessaire et déraisonnable» la proposition d'utiliser une partie des 700 milliards de dollars du plan Paulson, destiné à renflouer le système financier, pour l'industrie automobile.

j'ai passé quelques jours sur la côte ouest , Los Angeles , Las Vegas et San Francisco : ce qui m'a frappé dés le départ, c'est le nombre important de voitures japonaises en circulation. je comprends la situation catastrophique des 3 groupes. même dans les pickups il y a de nombreux toyota. les voitures allemandes sont assez nombreuses.... et c'est valable pour tout le pays et aussi au Canada. les seules voitures US les plus courantes sont les nouvelle mustang, dodge charger, chrysler 300 et la vieillissante ford crown victoria (taxi et police évidemment)... le temps de la grosse V8 est bien fini dirait-on.... :( il est fort à parier que GM et ford vendrons leurs filiales européennes....

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De son côté, le "Financial Times" croit savoir que General Motors serait prêt à reparler d'une fusion avec Chrysler une fois que les modalités du plan de sauvetage du secteur automobile américain auront été garanties.

c'est clair que c'est archi encombré le marché auto US

les asaitiques ont 44% de part de marché et les européennes 7.5%

autant de marques pour même pas moitié de leur marché domestique, il aurait bien fallu qu'ils se remettent en cause.
c'est visiblement trop tard

il ne leur reste plus que leur arme favorite: mettre le chantage à l'emploi dans la balance pour leur permettre de survivre

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La chute n'est pas un échec. l'échec c'est de rester là où on est tombé.

enoss écrit:



oui mais comment et combien de temps ?
quotas ?

mais que fera la GM de chrysler ? il y a déjà des marques en trop chez GM ! ( oldsmobile et buick font vraiment double emploi )

même le chantage à l'emploi ne fera pas tout.... ils faut qu'ils reprennent tout à zero pour redresser la barre ; sinon, il n'y aura bientôt plus du tout de marque americaine ! déjà, je vois chrysler foutu d'ici très peu de temps .... (j'espère sincèrement que je me trompe) :dry:

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euh, Oldsmobile est enterrée depuis quelques années déjà


pourquoi pas garder 3 ou 4 marques avec des domaines bien définis:

GMC: utilitaires
Chevy: gamme basse/populaire
Dodge ou Pontiac: Sport / Hybrides / Cabrios
Chrylser: gamme "moyenne-haute"
Cadillac: haut de gamme


tout le reste à la poubelle
ensuite faut qu'ils débauchent chez Audi et Toyota (ou Mercedes et Nissan comme vous voulez), pour enfin faire des autos adaptées à leurs clients et aux impératifs collectifs mondiaux
après cette petite remise en question, ils seront un peu plus crédibles
mais le feront ils?

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